Lorsque j’étais jeune, on ne parlait pas de cyber harcèlement. Et pour cause, nous n’avions pas d’ordinateurs, internet n’existait pas (Mais Patrick Bruel était déjà là lui! ). En revanche, ce qui était monnaie courante, c’était d’avoir dans la classe un bouc-émissaire, un enfant que personne n’aimait, qui subissait insultes et quolibets à longueur de journée. Continuer la lecture

