
Je suis dans mon salon, celui où j’ai l’habitude d’écrire, enfin où j’avais plus précisément, puisqu’en ce moment je n’ai plus le temps de rien, chaque jour est optimisé à son maximum. Je suis donc là, assise, et j’ai froid. Un froid intérieur, accompagné de frissons. J’ai ajouté un pull, puis une écharpe, et quelques dizaines de minutes plus tard j’ai revêtu ma veste fourrée. Je n’arrive toujours pas à me réchauffer.
Continuer la lecture
